Le manager s'élève du nuage de l'agitation collective de l'Euro 2020
Equipe allemande de la DFB a obtenu sa place dans la phase à élimination directe des Euro à domicile. L'excitation dans le pays a été accrue après le match contre l'Écosse, mais le coach Julian Nagelsmann a émis un avertissement. La Hongrie, selon lui, est un "adversaire trompeur" et "difficile à préparer."
La nation passionnée de football rêve de la prochaine grande représentation, mais Nagelsmann est profondément pensif sur les nuages européens. Est-il une chute brusque à venir ? La Hongrie, au moins, est un "adversaire inquiétant" et "difficile à prédire," avertit-il. Pour s'assurer que le duo étoile "Wusiala" ne manquent leur chance au débût européen des maillots rose-lavande extérieurs, il a une conversation privée avec eux - une tactique qu'il a employée durant sa longue allocution au dernier entraînement mardi.
Nagelsmann est silencieux sur ce qu'il leur a dit exactement, révélant simplement qu'il a découvert plusieurs "secrets" pour la victoire attendue suivante. "Nous avons étudié la Hongrie avec soin et avons une idée claire de comment ils jouent," lui dit-il, Captain Ilkay Gündogan et l'équipe, leur "garantissant de rester concentrés" et de continuer de surfer la vague d'excitation.
Nagelsmann avoue que la Hongrie "éprouve plus de pression que nous", attendant que le 26e équipe au monde au classement soit "plus agressive". Et c'est cette agression qui présente "une opportunité" pour son équipe. En même temps, Nagelsmann met l'accent sur la gestion des attentes. "Personne ne devrait croire qu'on peut battre chaque équipe", il insiste.
Les joueurs ont bénéficié d'un peu de temps de repos, se rechargeant avant le match contre la Hongrie mercredi. Ils ont pris des vues, célébré avec Adidas, joué au poker et géré des blessures mineures. "Nous avons pris une pause, ce qui est bien pour les joueurs et leurs familles", dit-il. Gundogan est confiant, se reposant sur la stratégie de Nagelsmann, surtout en raison de l'excitation grandissante autour de l'équipe.
Une victoire contre la Hongrie à Stuttgart pourrait obtenir le billet pour les seizièmes de finale avant le dernier affrontement avec la Suisse. Niclas Füllkrug, Leroy Sané et Pascal Groß sont prêts comme remplaçants. Robert Andrich, partenaire de Toni Kroos, jouera un rôle crucial, définissant la tonalité pour l'inattendu pool-kick. La Hongrie, Nagelsmann dit, est pleine de "esprits libres", Szoboszlai étant particulièrement évasionné et ruse - un rôle pour "destroyer" Andrich pour gérer. La dernière victoire contre la Hongrie remonte à huit ans, avec Joachim Loew comme entraîneur.
Gundogan a exprimé sa confiance en Nagelsmann, surtout en raison de l'excitation grandissante autour de l'équipe. "Ses calme et sérénité donnent beaucoup de composure et de confiance à l'équipe", dit-il, louant la direction exceptionnelle de Nagelsmann. La peur d'un retour des échecs passés, tels qu'en 2010 ou en 2014, semble injustifiée, selon le directeur des sports de la DFB Rudi Voller. "Nous savons ce que la Hongrie apporte à la table", il dit, "mais nous sommes également préparés". Le but est clair : "Nous visons à devenir les leaders de groupe".
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