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Il y a de l'amour dans l'air : Hans, l'ami des chevaux, et son Elke..aussiedlerbote.de
Il y a de l'amour dans l'air : Hans, l'ami des chevaux, et son Elke..aussiedlerbote.de

Hans im Glück

Dans les fermes de "Bauer sucht Frau", tout se passe souvent comme prévu. En d'autres termes, peu avant la fin de la semaine à la ferme, les couples réalisent que le grand amour pourrait bien les attendre à la fin du grand tout. Dans une ferme équestre, Cupidon fait particulièrement bien son travail.

"Où y a-t-il beaucoup de battements de cœur ?", veut savoir Inka Bause, l'entremetteuse en chef. Le premier paysan à lever le doigt, visiblement épris, s'appelle Hans. A la fin de la semaine à la ferme dans la belle région de l'Eifel, les regards de l'éleveur de chevaux et de son Elke en disent long. Qu'ils fassent de la gymnastique sur un rouleau de fascia, qu'ils montent à cheval ou qu'ils tournent simplement en rond, bras dessus, bras dessous, face au soleil couchant de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Hans et Elke profitent de chaque seconde passée ensemble. Il n'est donc pas étonnant que le premier vrai baiser ait lieu devant les portes de l'imposante ferme équestre.

Entre André et Julia aussi, les étincelles fusent.

André, le producteur laitier, et Julia, toujours de bonne humeur, ne sont pas loin des premiers échanges de lèvres humides. Le seul obstacle sur le chemin du bonheur amoureux est la vache mère "April". Mais l'animal jaloux peut être rapidement apaisé avec de la paille fraîche en abondance. Peu avant la fin de la journée de travail et après un solide rendez-vous au foin avec du pain fait maison et du champagne mousseux, André pointe lui aussi les lèvres et s'approche tendrement de la joue de Julia. La bénédiction de Cupidon est omniprésente - dans les pâturages des vaches comme dans les paddocks et sur les sommets des montagnes, tout en haut, au milieu de nulle part en Bavière, là où l'éleveur de moutons Hannes et la puéricultrice Jenny tentent leur chance en amour.

Magie du panorama et fiasco des règles de savoir-vivre

Après un opulent petit déjeuner paysan, incluant une omelette géante et des dictons amusants du père de l'auberge ("Si le paysan a besoin d'un pull, c'est octobre !"), les deux tourtereaux se mettent en route pour "poser des pierres à sel". Arrivée à l'alpage, Jenny laisse son regard vagabonder : "C'est tellement beau ici !", la blonde se montre fortement enthousiasmée non seulement par son fermier, mais aussi par le paysage.

Simone, du Brandebourg, aimerait aussi s'extasier. Mais le temps passé avec Siegfried, l'éleveur de taureaux, est marqué par des descentes émotionnelles. Après un trip bien-être d'abord très détendu avec un final dans un jacuzzi, la dame de compagnie se met plus d'une fois les mains sur le visage à la table du dîner. Selon Simone, les manières de Siegfried à table laissent encore "beaucoup à désirer". Mais celui-ci se contente de hausser les épaules : "C'est comme ça qu'on fait dans l'Odenwald !", explique le fermier pour expliquer son comportement alimentaire animal.

On mange aussi à la ferme équestre de Carolin. Mais ici, c'est plutôt l'aide à la digestion qui est au premier plan. Mamie Elfriede, une fois le travail de couverture des bottes de foin terminé, saute au coin de la rue avec un plateau de shots très alcoolisés. Le garçon de ferme Marcel ne se fait pas prier deux fois. Plus tard, après une promenade à cheval suivie d'un pique-nique, les cœurs de Carolin et de Marcel battent au même rythme : "On se fait un câlin ?", demande Carolin, la tête toute rouge. Un souffle plus tard, l'écuyère et le maréchal-ferrant de formation se blottissent dans les bras l'un de l'autre.

C'est chez Stefanie et Patrick que tout commence.

En plus des constellations amoureuses déjà connues, l'avicultrice Stefanie et le producteur laitier Patrick entrent à leur tour dans la danse. Autour d'une délicieuse bière, de fricadelles faites maison et d'un champagne pétillant, Patrick et ses deux dames de compagnie Annika et Sarina se préparent à une semaine de ferme passionnante.

Stefanie, l'avicultrice, a invité Timo et Philipp à la ferme. Non seulement deux paires de gants de travail et quatre barres énergétiques attendent les nouveaux hôtes de la ferme, mais aussi une foule de chèvres et de cochons affamés. Espérons que l'amour ne sera pas négligé avec tant d'anticipation du travail quotidien.

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Source: www.ntv.de

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