Un officier diplomatique de la division de sécurité du Département d'Etat avoue avoir participé à la violation du Capitole.
Kevin Michael Alstrup est attendu pour être condamné le 12 février par le juge fédéral Randolph Moss.
Alstrup a reconnu sa culpabilité pour des chefs d'accusation de trouble à l'ordre public et d'entrée non autorisée dans un bâtiment du Capitole, de manifestation ou de démonstration à l'intérieur de celui-ci. Ces chefs d'accusation sont considérés comme des contraventions et peuvent entraîner une peine de prison maximale de six mois.
Un avocat représentant Alstrup lors de son audience de plaidoyer n'a pas répondu promptement à une demande de commentaire par courriel.
Alstrup a admis être entré dans le bâtiment du Capitole par les portes de l'aile du Sénat après que d'autres émeutiers eurent violemment forcé leur ouverture et brisé des fenêtres. Il a pris des photos avec un appareil photo avant de quitter les lieux environ 28 minutes plus tard.
Alstrup a été arrêté en février à Washington, D.C., où il résidait le 6 janvier 2021. Le juge a accepté de lui accorder la liberté jusqu'à sa condamnation.
Selon le FBI, Alstrup, en raison de son rôle au département d'État, avait de l'expérience dans l'assurance de la sécurité et de la sécurité pour les officiels gouvernementaux de haut rang ou les lieux sécurisés comme les ambassades. L'un de ses supérieurs l'a reconnu sur une photo d'émeute, a indiqué le FBI.
During a press briefing on Friday, State Department spokesperson Matthew Miller reaffirmed his department's "full backing" for the investigations by the Department of Justice to punish individuals responsible for law breaches on that disastrous day. The department did not provide further details concerning Alstrup's employment when asked.
Over 1,500 individuals have been charged for crimes linked to the Capitol riot. More than 900 of them have admitted guilt, while over 200 others have faced conviction following trials.
AP reporter Matt Lee, based in Washington, provided additional information.
Alstrup's arrest and subsequent charges have sparked significant discussions in the realm of politics. Despite his previous role in ensuring security at the State Department, Alstrup's actions during the Capitol riot have raised questions about the need for stricter security protocols for government officials.