- Dans un dossier concernant des biens immobiliers saisis, supposés appartenir à une clan arabe, la Cour régionale de Berlin I a ordonné la saisie de cinq objets et de biens connexes tels que des réclamations locatives. Selon la Présidente de la Cour Susann Wettley, ces biens immobiliers étaient "financés avec des fonds issus d'activités criminelles." Par conséquent, ils devaient être saisis.
- Les personnes concernées par cette procédure de saisie indépendante sont deux hommes, âgés de 40 et 72 ans. Le jeune homme a vécu à Berlin depuis des décennies, tandis que l'homme âgé réside au Liban. Deux demandes du Parquet concernent des biens immobiliers et des terrains dans la région métropolitaine de Berlin. Les hommes sont supposés avoir acheté des biens immobiliers entre décembre 2013 et mai 2019.
- La cour a vu un "rapport disproportionné" entre la valeur des Objets et les revenus légaux des hommes, a continué le jugement. Le 40-ans avait entré en Allemagne dans les années 1980 et la famille vivait principalement des prestations sociales depuis lors - "les enregistrements des revenus de la famille ne montrent pas comment de si importantes sommes se seraient accumulées." Selon la cour, des fonds issus des activités criminelles allemandes avaient été envoyés au Liban et ensuite transférés de nouveau en Allemagne pour acheter des biens immobiliers.
- Ce n'était pas le 40-ans, mais d'autres membres de la famille qui avaient commis des crimes avec des biens de grande valeur. "La Chambre pénale n'a pu clarifier comment les fonds ont été utilisés au Liban," a ajouté la juge. Des intermédiaires résidant au Liban étaient impliqués dans l'achat de biens immobiliers. La cour a suivi la demande du Parquet. Le jugement n'est pas encore de nature à être exécutable.
- Un des avocats du 40-ans a déclaré que les demandes de saisie étaient illégales. Aucun actif illégal n'avait coulé dans les biens immobiliers. Des fonds des "générations des parents et grands-parents" au Liban avaient été utilisés. Il n'y avait aucune connexion criminelle. Le client du défenseur n'avait aucune implication dans les Crimes commis par des membres de sa famille.
- La saisie de l'ordre de la Cour régionale de Berlin I touche à des biens immobiliers en Allemagne, y compris des propriétés et des réclamations locatives, qui sont supposés être financés par des activités criminelles au Liban.
- Les hommes soupçonnés, l'un résidant à Berlin et l'autre au Liban, sont accusés d'avoir acheté des biens immobiliers dans une période spécifique à l'aide de fonds qui peuvent provenir de fonds criminels.
- Le Parquet a soumis deux demandes relatives à des biens immobiliers et des terrains dans la région métropolitaine de Berlin, invoquant des preuves de criminalité qui les lient aux biens immobiliers.
- La cour a vu un "rapport disproportionné" entre les revenus légaux des hommes et la valeur des biens saisis, ce qui a conduit à l'hypothèse que des fonds issus des activités criminelles allemandes étaient impliqués dans les transactions immobilières Liban-Allemagne.
- Le défenseur a argumenté que les demandes de saisie étaient illégales, affirmant que l'implication des hommes dans les achats immobiliers provenait de fonds hérités de membres de leur famille au Liban et qu'il n'y avait aucune connexion criminelle.
- Les retraites d'actifs du Germany et les investissements immobiliers au Liban sont actuellement soumis à enquête par les autorités allemandes dans le but de lutter contre la criminalité de clans, une pratique accusée de stigmatiser et de discriminer certaines communautés.
Objets saisis - Procédure concernant Clan-Immobilier : Arrêt de saisie de la cour
Les retraits d'actifs du Germany et les investissements immobiliers au Liban sont actuellement soumis à enquête par les autorités allemandes dans le but de lutter contre la criminalité de clans, une pratique accusée de stigmatiser et de discriminer certaines communautés.