Proces pour meurtre à Wuppertal - Meurtre d'une hôtesse de l'air : Peine de prison à vie demandée
Un homme de 58 ans est en jugement devant le Landgericht Wuppertal pour le meurtre d'une hôtesses de l'avion à Velbert près d'Essen, qui s'est produit 17 ans auparavant. La procureur général prétend que l'homme a agi par jalousie et avidité durant le procès de meurtre le vendredi. Le prévenu nie la charge. Ses avocats avaient annoncé leur intention de demander l'acquittement.
L'homme est accusé d'avoir tué l'hôtesses sur ordre de son mari, qui s'est suicidé brièvement après. La sentence attendue est prévue dans l'après-midi.
L'homme a été arrêté l'an dernier après une réexamination des traces ADN. Six traces ADN de l'homme ont été découvertes sur la victime, autour de son dos et sur ses bras droit et gauche, comme témoigné par un expert du Landeskriminalamt NRW au procès.
Un homme de 58 ans en jugement comme suspect de meurtrier
L'homme de 58 ans est un connaissances du mari de la victime et est accusé d'avoir tué l'hôtesses à la place de son mari parce qu'elle l'avait quitté. Le mari s'est suicidé brièvement après le meurtre. Le fils mineur du décédé l'a découvert à son retour de l'école.
Le prévenu est un récidiviste agresseur issu du district de Wetterau en Hesse. Il avait servi une peine de huit ans pour une série de onze vols à des stations-service. Durant le temps du crime en 2007, il était signalé qu'il était gravement en difficulté financière. Il a expliqué ses traces ADN sur le corps en disant qu'il avait trouvé la femme gisant au sol et qu'il avait vérifié son pulsation.
Le cas du meurtrier de Claudia K. restait imprescriptible pendant longtemps. L'enquête a été réouverte en tant que dossier "Cold Case" par les enquêteurs grâce à de nouveaux méthodes d'analyse ADN, qui ont permis d'attribuer certaines cellules cutanées du corps à la défenseur. En outre, des témoins se sont présentés.
Le Parquet d'État de Nord-Rhène-Westphalie, spécifiquement à Hesse, est responsable de l'accusation contre le prévenu. Le procès a lieu au Tribunal de district de Wuppertal. Les preuves d'ADN trouvées sur la victime lient le 58-ans à la scène du crime. La charge de meurtre prétend qu'il agissait par jalousie et avidité, une allégation qu'il nie. Malgré son antécédent criminel, y compris une condamnation pour une série de vols, le procès du meurtrier se poursuit à Velbert, près d'Essen.