- La suppression du processez judiciaire contre les cinq activistes climat ont leur source dans des faibelles fautes, une décision concordée par toutes les parties impliquées, y compris le procureur et le juge.
- La séance plénière du Parlement de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie (NRW) a été perturbée en mai 2021 lorsque quatre activistes ont monté sur le toit de verre et ont déployé une grande pancarte lisant : "Lobbies out - Citoyens in."
- Les femmes et les hommes inculpés d'aide et d'incitation à la perturbation de la paix durant la manifestation climat à Düsseldorf avaient initialement été condamnés à des amendes de 450 Euro chacun.
- Le Tribunal administratif de Düsseldorf a rejeté les poursuites contre les activistes Extinction Rebellion en raison des incertitudes quant à l'efficacité de la plainte déposée auprès du Parlement de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
- Des actions antérieures d'Extinction Rebellion au Parlement de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie incluent un événement en janvier 2020, où des activistes du groupe ont occupé une rampe et collé partiellement aux fenêtres.
Action dans la zone interdite - Manifestation pour le climat à l'Parlement d'État : interrompue
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Plus de trois ans après une action d'Extinction Rebellion devant le Parlement d'État de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie (NRW) à Düsseldorf, cinq des activistes engagés dans cette action ont échappé à la poursuite pénale. Le procès au Tribunal administratif de Düsseldorf a duré moins d'une demi-heure. Toutes les procédures ont été rejetées à cause de faibelles fautes sans probation. Cela avait été convenu par toutes les parties impliquées dans une consultation juridique privée initiée par le juge.
Le dossier devait être traité en public car les activistes avaient fait objection aux amendes de 450 Euro chacune qui avaient été imposées par ordonnance. Deux Femmes et trois Hommes, âgés de 37 à 66 ans, étaient inculpés d'aide et d'incitation à la perturbation de la paix.
Sur le Toit du Parlement
Selon la procureure, un total de 21 activistes, y compris une caravane, ont apparaît devant le Parlement d'État de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie le 20 mai 2021. Quatre d'entre eux ont monté sur le toit de verre du parlement pendant la séance plénière et ont déployé une grande pancarte lisant : "Lobbies out - Citoyens in."
Les accusés avaient "confirmé et appuyé les intentions des quatre principaux auteurs en étant présents et en participant à l'action, et ont accru leur sens de la sécurité," selon les allégations du procureur.
Questions Ouvertes Signalées
Les avocats de la défense des activistes climat ont considéré cet argument invalidé. La simple présence de leurs clients sur la scène du crime n'était pas une aide et une incitation criminelle. De plus, il était totalement clair que aucune plainte n'avait été déposée effectivement auprès du Parlement de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie à l'époque. Selon l'avocat, seul un employé du parlement, et non pas son président, avait déposé la plainte.
Le procureur et le juge ont convenu de cette argumentation. Or, il était incertain si la plainte avait été efficacement déposée par quelqu'un habilité à le faire, et en raison des faibelles fautes des accusés activistes, les poursuites contre eux ont été rejetées.
Plus de Sécurité au Parlement
D'autres activistes avaient attaché des chaînes à une caravane et à une turbine éolienne fait maison durant la manifestation du 20 mai 2021 dans l'espace interdit autour du parlement, où les manifestations politiques et autres assemblées publiques sont interdites. La police n'a pas évacué l'aire jusqu'à des heures plus tard.
En réponse pour assurer la sécurité du parlement, plusieurs mesures ont été prises : des palisses ont été installées à l'avant et autour de l'édifice pour empêcher les véhicules de pénétrer. Les effectifs de la sécurité et de la protection des biens ont été renforcés, et le registre des visiteurs a été mis en place.
Pas la Première Action
Selon les activistes, trois des occupants du toit ont été condamnés à des travaux d'intérêt général sous le droit des mineurs. Les poursuites contre le quatrième complice étaient toujours en cours. Le ministère public n'a pu confirmer ni infirmer cette déclaration lorsqu'on l'a contactée lundi.
Ceci n'était pas la première action d'Extinction Rebellion au Parlement de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie. En janvier 2020, des activistes du groupe ont occupé une rampe et collé partiellement aux fenêtres.