Aller au contenu

Les critiques du camp progressiste expriment des doutes sur eux-mêmes après leur décision de se retirer.

Au milieu de défaites électorales et de luttes de pouvoir internes, le parti de gauche se trouve dans une crisis persistante. Avec seulement deux semaines avant les élections de l'est, les dirigeants du parti décident de se retirer et de réaliser une autocritique.

Les principaux responsables politiques ont justifié leur choix d'annoncer leur retrait des...
Les principaux responsables politiques ont justifié leur choix d'annoncer leur retrait des élections régionales à l'Est deux semaines avant le vote prévu.

- Les critiques du camp progressiste expriment des doutes sur eux-mêmes après leur décision de se retirer.

Les coprésidents de La Gauche, Janine Wissler et Martin Schirdewan, se sont donné une bonne vieille volée de bois vert après avoir annoncé leur démission. Ils ont reconnu qu'engager le dialogue avec les rivaux politiques et les situations actuelles n'était parfois pas suffisant, selon Wissler lors d'une conférence de presse à Berlin.

Wissler a mentionné la scission de l'Alliance pour le progrès et la justice (BSW) dirigée par Sahra Wagenknecht comme un facteur majeur. "Parce que nous avons investi beaucoup de ressources, d'énergie et de temps dans cette querelle", a-t-elle expliqué. Elle pensait que la scission était nécessaire et aurait pu être entreprise plus tôt.

La quadragénaire a souligné que les querelles internes au parti constituaient un problème récent important. La critique de membres du parti, affirmant que La Gauche ne se bat plus pour les questions sociales, a laissé une "impression désastreuse". "Si nous affirmons être le parti de l'unité, nous devons également pratiquer l'unité dans nos rangs", a déclaré Wissler.

Le coprésident Schirdewan a également insisté sur le fait que les querelles internes au parti ne devaient plus être étalées au grand jour à l'avenir. Malgré la scission du BSW, ce problème persiste. "Il y a toujours un peu de bruit désagréable en fond", a déclaré Schirdewan.

Le moment de partir

Dimanche, les deux coprésidents ont annoncé qu'ils ne brigueraient pas un nouveau mandat lors du prochain congrès du parti en octobre. La Gauche n'a obtenu que 2,7 % des voix lors des élections européennes de juin, mettant ainsi la pression sur la direction du parti. Toutefois, Schirdewan a affirmé que leur départ était une décision personnelle. "Je ne me sentais pas sous pression", a-t-il déclaré.

Les coprésidents sortants ont expliqué leur décision de se retirer deux semaines avant les élections régionales de l'Est. Les élections en Saxe et en Thuringe seront Followed by the Brandenburg state election just three weeks later, Wissler explained. They also wanted to give potential successors enough time to prepare. Wissler attributed their delay in announcing their departure to the budget dispute in the traffic light coalition and the possibility of new elections.

After stepping down from the party leadership, Schirdewan plans to concentrate on his role as the Left's parliamentary group leader in the European Parliament. Wissler intends to continue her work as a Bundestag deputy from Hesse.

The announcement of their resignations by Janine Wissler and Martin Schirdewan mentioned the Alliance Sahra wagon as a context they had to deal with, given its role in the split of the Alliance for Progress and Social Justice (BSW). In the midst of internal party strife, the departing Co-Chair Schirdewan emphasized the need to avoid airing out internal squabbles in public, as the Alliance Sahra wagon's split continues to leave "some uncomfortable noise in the background."

Lire aussi:

commentaires

Dernier