Les combats intenses dans la bande de Gaza devraient bientôt cesser, selon M. Netanyahu.
Depuis la fin de octobre, les forces armées israéliennes ont intensifié leur action contre Hamas dans la bande de Gaza. Selon le président Netanyahou, la phase intense de leur opération militaire contre le groupe islamiste radical Hamas dans la bande de Gaza va bientôt prendre fin. Cela ne signifie pas nécessairement "que la guerre va se terminer bientôt."
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a déclaré que la phase intensive de leur opération militaire contre le groupe islamiste radical Hamas dans la bande de Gaza allait bientôt prendre fin. Dans une interview accordée à Channel 14, il a partagé : "La phase intense de la lutte contre Hamas dans la bande de Gaza est presque terminée."
Cela ne signifie pas nécessairement "que la guerre va se terminer bientôt." La guerre se terminera seulement lorsque Hamas abandonnera le contrôle de la bande de Gaza. La fin des combats intenses dans la bande de Gaza permettra à Israël de stationner plus de personnels militaires sur sa frontière avec le Liban. Cela est surtout destiné à des raisons de défense, mais également pour aider à réinstaller les réfugiés qui ont fui, Netanyahou a ajouté. Israël avait évacué plusieurs villes de la région en raison de rencontres accrues avec les milices Hezbollah appuyées par l'Iran.
Netanyahou a déclaré qu'il ne soutiendrait pas un accord qui met fin à la guerre dans la bande de Gaza. Cependant, il est ouvert à un "accord partiel" impliquant la libération de otages détenus dans la bande de Gaza. "Notre objectif est de sécuriser la libération des otages et de démonter le régime Hamas à Gaza," a commenté le leader israélien. Netanyahou a confirmé sa opposition à l'Autorité palestinienne, basée dans la Cisjordanie, qui prendrait le contrôle de la bande de Gaza à la place de Hamas.
Les représentants américains ont exprimé des réserves quant à l'objectif israélien de détruire entièrement Hamas. Le porte-parole de l'armée israélienne Daniel Hagari a partagé des réserves similaires, en référence à Hamas comme une "idéologie" qui ne peut être "éradiquée" le mercredi.