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Les achats de cartes de paiement restent suspendus indéfiniment

La carte de paiement pour les réfugiés visés vise à soulager la charge financière pour les municipalités et à empêcher que les fonds nchnen beeaux trafiquants. Un système normalisé est en cours d'étude par 14 États fédéraux, mais le processus de distribution est confronté à d'autres retards.

Dans le schéma pour les cartes de paiement des réfugiés, quatorze États sont impliqués, mais la...
Dans le schéma pour les cartes de paiement des réfugiés, quatorze États sont impliqués, mais la Bavière et le Mecklembourg-Poméranie occidentale optent pour des stratégies indépendantes.

- Les achats de cartes de paiement restent suspendus indéfiniment

Le déploiement d'une carte de paiement nationale pour les réfugiés rencontre des retards. Dataport, l'entreprise chargée de superviser ce processus à Hambourg, a annoncé que le processus de soumission européen ne serait pas finalisé pour le moment. Le retard est dû à une plainte déposée par un soumissionnaire insatisfait dans le processus de soumission, qui est actuellement examinée par la Cour régionale supérieure de Karlsruhe.

Dataport a ensuite informé que le contrat ne pourrait pas être finalisé d'ici la fin août. Initialement, toutes les appels des soumissionnaires insatisfaits ont été apparemment rejetés par le comité de soumission concerné. En raison des procédures en cours, aucun détail sur le contenu de la plainte n'est divulgué.

Dataport a été nommé pour gérer le processus de soumission du système de paiement transfrontalier sans numéraire proposé pour les réfugiés. Suite à un accord entre 14 des 16 États fédéraux fin janvier, la Bavière et le Mecklembourg-Poméranie-Occidentale ont décidé de suivre des chemins indépendants. La carte est prévue, entre autres, pour empêcher les paiements aux trafiquants ou aux familles dans les pays d'origine, faciliter la charge administrative des municipalités et réduire les incitations à la migration irrégulière.

La Cour régionale supérieure de Karlsruhe examine actuellement la plainte déposée par un soumissionnaire insatisfait, ce qui affecte la conclusion du processus de soumission supervisé par la Commission, plus précisément Dataport. En raison de ce litige en cours, la Commission n'a pas pu finaliser le contrat pour la carte de paiement nationale pour les réfugiés.

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