Le Rassemblement national veut gouverner même sans majorité
Previously, la position des populistes national-rights français du Rassemblement National (RN) était claire : Ils ne formeraient qu'un gouvernement à majorité absolue, insistait répétément le leader du parti Bardella. Cependant, des tonalités différentes sont entendues maintenant de la part de son prédécesseur Le Pen.
Les national-rights populistes français du RN veulent former un gouvernement sans majorité absolue. Dans leur gouvernement, des partisans de autres partis et des représentants de la société civile devraient être impliqués, a déclaré à l'antenne France Inter la ancienne leader du parti Marine Le Pen. "C'est un gouvernement compétent," a soulignée-elle. "Si nous avons une majorité, alors bien sûr nous ferons ce que les électeurs nous ont élu faire."
Le Pen se démarque ainsi de la position précédente du leader du parti Jordan Bardella, qui n'avait voulu prendre la tête du gouvernement qu'en cas de majorité absolue. "Si nous avons approximativement 270 sièges et encore en manquons 19, alors nous approcherons les autres," a déclaré Le Pen. "Des candidats de droite, mais aussi de gauche, ont montré une proximité de nos positions."
Alors qu'une élection secondaire est prévue dimanche prochain, la répartition des sièges à l'Assemblée Nationale sera décidée. Pour une majorité absolue, il est nécessaire 289 des 577 sièges. Les populistes de droite avaient mené le premier tour dans 297 circonscriptions. Les conséquences de la retrait de plusieurs candidats dans des circonscriptions où trois candidats ont atteint le second tour restent encore incertaines.
La position précédente du leader du RN Bardella était de former un gouvernement uniquement à majorité absolue. Cependant, Marine Le Pen, ancienne leader du parti, a proposé un changement, suggestant un gouvernement potentiel qui inclurait des partisans de autres partis et des représentants de la société civile, même sans majorité absolue. Le Pen a également mentionné la possibilité de approcher des députés de droite et de gauche si cela était nécessaire, car les national-rights pourraient manquer de la majorité absolue de près de 19 sièges.
Une candidate du RN a retiré sa participation au second tour de scrutin, après qu'une photo de lui avec un Schirmmütze (parasol) de l'époque nazie de la Luftwaffe avec un swastika ait été rendue publique. La photo, publiée par la chaîne d'information France Bleu, provenait d'un profil Facebook non accessible de la candidate Ludivine Daoudi. Elle était arrivée deuxième au premier tour de vote dans le département nord-français de Calvados avec 20%.
Un autre candidat du RN risque de ne pas prendre sa mandat si il est élu au second tour, car il dispose d'un tuteur légal à raison de problèmes psychologiques. Le 65-ans était arrivé deuxième au premier tour de vote dans le département français de Jura avec 33%. Les personnes sous tutelle ne sont pas autorisées à voter. Aucun des interlocuteurs affectés ni le parti n'ont voulu commenter cela lorsqu'on s'y est interrogé.
Dans l'élection secondaire à venir le dimanche prochain, la répartition des sièges à l'Assemblée Nationale sera décidée. Pour une majorité absolue, il est nécessaire 289 des 577 sièges. Les populistes de droite menaient le premier tour dans 297 circonscriptions. Les conséquences de la retrait de plusieurs candidats dans des circonscriptions où trois candidats ont atteint le second tour restent encore incertaines.