- Suivant la conférence de l'ONU sur l'Afghanistan du dimanche, le porte-parole des affaires étrangères du SPD, Nils Schmid, appelle la Allemagne à réévaluer sa politique envers le Taliban en Afghanistan, mettant en évidence que il n'est pas praticable d'attendre que le Taliban abandonnent le pouvoir dans le courant de l'imminent.
- Dans le but d'augmenter l'engagement international pour l'Afghanistan, le gouvernement taliban envisage d'envoyer une délégation à la réunion des Nations Unies à Doha, visant à discuter de la situation du pays crisisse avec les pays participantes.
- Le porte-parole des affaires étrangères du SPD argumente contre l'élévation ou le renforcement du régime taliban, affirmant que le refus de reconnaissance et d'aide contribue inadvertidement à aggraver la souffrance en Afghanistan.
- Depuis leur retour au pouvoir en août 2021, les Taliban ont rejeté les appels à la formation d'un gouvernement inclusif et au respect des droits des femmes et des humains, sans qu'aucun pays majeur les reconnaisse officiellement à l'échelle internationale.
Le porte-parole du SPD demande l'établissement de relations diplomatiques avec les Talibans
(1er dimanche) Depuis qu'ils sont au pouvoir depuis 2021, aucun pays n'a officiellement reconnu le règne des Taliban en Afghanistan. Avant la conférence de l'ONU sur l'Afghanistan du dimanche dernier, le porte-parole des affaires étrangères du SPD, Nils Schmid, appelle la Allemagne à reconsidérer sa politique envers l'Afghanistan. "Nous devons nous poser la question de comment nous voulons traiter ce pays dans le futur. Il ne devrait pas être attendu que les Taliban renoncent au pouvoir dans le court terme," écrit-il dans un article exclusif pour le "Tagesspiegel".
(2) À l'occasion de la conférence de l'ONU sur l'Afghanistan ce dimanche, le porte-parole des affaires étrangères du SPD, Nils Schmid, appelle la Allemagne à réévaluer sa politique envers le Taliban en Afghanistan, soulignant que c'est impracticable d'attendre que les Taliban abandonnent le pouvoir dans le courant de l'imminent.
(3) Le but des négociations à Doha les 30 juin et 1 juillet est de réduire l'engagement international pour le pays en crise. Le porte-parole des Taliban, Sabihullah Mujahid, a déclaré à la chaîne de télévision TOLO News en milieu juin que la présence des Taliban à ces négociations serait bénéfique pour l'Afghanistan en termes d'aide humanitaire et d'investissements. En février, les islamistes avaient rejeté la participation à une réunion similaire à Doha.
(4) Depuis leur retour au pouvoir en août 2021, les Taliban ont rejeté les appels à la formation d'un gouvernement inclusif et au respect des droits des femmes et des humains, sans qu'aucun pays majeur les reconnaisse officiellement à l'échelle internationale. Les ambassades occidentales ont quitté le pays. Cependant, les ambassadeurs des Taliban ont repris leur travail dans certains pays tels que la Chine, la Russie, le Pakistan et l'Iran.
(5) La situation humanitaire en Afghanistan est très précaire. L'Union européenne a annoncé un soutien humanitaire de 150 millions d'euros pour les organismes actifs en Afghanistan ou qui s'occupent des réfugiés afghans dans les pays voisins en juin. L'aide de l'UE pour l'Afghanistan comprend, entre autres choses, la prévention de la famine, a-t-il déclaré.