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Le nouveau Premier ministre Starmer veut arrêter le projet d'expulsion du Rwanda

C'était la pierre angulaire de la politique migratoire du Premier ministre déchu Sunak : le pacte d'asile avec le Rwanda. Ce projet n'a toutefois aucune chance de voir le jour sous le nouveau gouvernement de Keir Starmer.

Le nouveau Premier ministre britannique Keir Starmer devant sa résidence officielle au 10 Downing...
Le nouveau Premier ministre britannique Keir Starmer devant sa résidence officielle au 10 Downing Street

Grande-Bretagne - Le nouveau Premier ministre Starmer veut arrêter le projet d'expulsion du Rwanda

Royaume-Uni ne envoie pas des migrants irréguliers en Rwanda. Le nouveau Premier ministre Keir Starmer a déclaré que le contentieux projet de son prédécesseur Rishi Sunak était "mort et enterré". Au sujet des plans, Starmer a déclaré à une conférence de presse à Downing Street à Londres que c'était "du politique symbolique". Le leader du Parti travailliste avait déjà annoncé durant la campagne de se retirer du programme Rwanda.

Sunak voulait envoyer des personnes venues au Royaume-Uni sans les documents nécessaires, quelles que soient leurs origines, en Rwanda. Elles devaient demander l'asylis there, un retour au Royaume-Uni étant exclu. Les critiques ont vu cela comme une violation des obligations internationales.

Le contrat Rwanda a coûté aux contribuables britanniques des millions de livres déjà

Des milliers de personnes atteignent les côtes britanniques irrégulièrement chaque année, majoritairement à bord de petits bateaux. L'hébergement dans des hôtels et d'autres logements coûte aux contribuables des milliards de livres. Le gouvernement de Sunak espérait que le plan Rwanda déterrerait les migrants. Cependant, le nombre d'arrivées a repris récemment.

Le contrat avec le président rwandais Paul Kagame, que les critiques accusent de violations des droits de l'homme, a coûté aux contribuables britanniques plusieurs centaines de millions de livres jusqu'à présent. Aucun migrant n'a été envoyé contre leur volonté en Afrique de l'Est.

  1. Malgré la déclaration de Keir Starmer selon laquelle le plan d'asylum Rwanda est "mort et enterré", certains critiques mettent en question l'impact sur la politique migratoire du Royaume-Uni pendant la campagne électorale.
  2. Le bureau du Premier ministre, situé à Downing Street à Londres, a été un foyer de discussions concernant le pacte d'asylum rwandais et sa annulation.
  3. Le plan d'asylum controversé de Rishi Sunak, son prédécesseur, constituait la pierre angulaire de sa politique migratoire, le pacte d'asylum Rwanda.
  4. Keir Starmer et le Parti travailliste, pendant leur campagne électorale, ont promis de détruire le pacte d'asylum, établi par le gouvernement de Sunak avec le président rwandais Paul Kagame.
  5. Les contribuables britanniques ont subi des coûts considérables du contrat Rwanda, y compris des millions dépensés pour son établissement et l'hébergement de migrants dans différents établissements.
  6. Malgré le fardeau financier et les critiques des défenseurs des droits de l'homme, le plan d'asylum Rwanda n'a pas réussi à réduire significativement le nombre de migrants arrivant à Londres par des routes irrégulières.

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