Le groupe The White Stripes prend des mesures judiciaires contre Donald Trump.
Le célèbre riff de guitare de "Seven Nation Army" du célèbre groupe de rock The White Stripes ne résonne plus seulement dans les stades de football. Le controversé Donald Trump l'intègre désormais à son programme. Le chanteur principal du groupe, Jack White, a depuis entrepris des démarches légales en réponse. White a publié un screenshot du procès sur Instagram. Le procès, intenté à New York, inclut également la porte-parole de Trump, Margo Martin.
Cette action intervient suite à une menace formulée par White sur Instagram en fin août. Il a également partagé une vidéo mettant en scène Martin, qu'elle avait initialement publiée sur la plateforme X. Dans la vidéo supprimée depuis, on voit Trump monter dans un avion. White a mis en garde : "Ne pensez même pas à utiliser ma musique." Il a ensuite annoncé le procès, soulignant sa mise en garde avec le célèbre riff de guitare de la chanson à succès.
Trump a une histoire de polémiques liées à l'utilisation de musique populaire. En août, la chanteuse Céline Dion a ouvertement exprimé son opposition, déclarant qu'elle n'approuvait pas que Trump utilise sa musique pour sa campagne politique. La performance de "My Heart Will Go On" lors d'un meeting organisé dans le Montana n'avait pas son aval, a-t-elle expliqué sur la plateforme X. "Vraiment, celle-là ?" a-t-elle demandé, surprise.
Malgré l'historique de Trump utilisant la musique populaire lors de ses événements politiques, suscitant des oppositions comme celle de Céline Dion, il utilise désormais le célèbre riff de "Seven Nation Army" dans son programme. Cela a entraîné un procès intenté par Jack White à New York, réclamant que Trump et sa porte-parole, Margo Martin, cessent d'utiliser la musique.