Aller au contenu

Le feu tricolore veut introduire des règles plus strictes pour les députés turbulents

Les députés qui se montrent grossiers ou perturbateurs au Bundestag seront bientôt soumis à des sanctions plus sévères. Le projet du SPD, des Verts et du FDP concerne également les commissions qui ne se réunissent pas en public.

Le ministre de la Justice Buschmann et le ministre du Travail Heil réagissent à une interjection...
Le ministre de la Justice Buschmann et le ministre du Travail Heil réagissent à une interjection lors d'un débat en séance plénière (photo d'archives).

Bundestag - Le feu tricolore veut introduire des règles plus strictes pour les députés turbulents

Personnes qui insultent d'autres députés during la séance plénière du Bundestag ou perturbent les comités affronteront des sanctions plus rigoureuses dans l'avenir, d'après un accord des politiciens d'Ampel. Ce projet, rédigé par les factions SPD, Les Verts et FDP, sera mis à vote le mardi prochain. Ce projet stipule que, dans l'avenir, une amende automatique de 2 000 Euro devrait être imposée si un parlementaire reçoit trois appels d'ordre dans trois semaines législatives.

Selon les règles actuelles dans les Règles de Procédure, le président du Bundestag peut imposer une amende de 1 000 Euro à un membre du Bundestag sans qu'il y ait eu appel d'ordre. Dans des cas répétés, l'amende monte à 2 000 Euro.

L'amende est prévue pour être portée à 2 000 Euro, et dans des cas répétés, elle serait de 4 000 Euro.

Selon des sources du gouvernement, ce projet sera discuté en lecture première mercredi prochain. Les représentants du gouvernement ont signalé à l'Agence de Presse Allemande qu'ils n'ont pu atteindre un consensus avec la fraction Union sur une proposition commune, mais ils continuent de poursuivre cet objectif.

"Nous voulons également étendre les compétences des factions d'opposition : les audiences publiques demandées par elles doivent être traitées dans les dix semaines législatives suivantes dans l'avenir," dit Filiz Polat des Verts. Auparavant, il n'y avait pas de limites de temps pour cela. Dans le projet, il est également proposé d'ajouter la suivante phrase aux Règles de Procédure : "Tout discours insultant ou discriminatoire, particulièrement raciste ou sexiste envers un autre membre ou des tiers doit être évité."

Les pouvoirs des présidents sont également étendus. Selon le projet, le président devrait recevoir des pouvoirs disciplinaires formels envers les membres. Dans des cas de perturbations significatives, le président, avec l'approbation d'une majorité qualifiée, peut exclure le perturbateur des délibérations. Les Règles de Procédure du Bundestag datent principalement de l'année 1980, dit Johannes Fechner (SPD). Une modernisation fondamentale est nécessaire. C'est également à propos d'enabling des débats plus vivants, souligne Stephan Thomae (FDP). Par exemple, les questions et interjections pendant les heures actuelles doivent maintenant être permises.

Ce projet de hausse de pénalité, principalement conduit par les factions SPD, Les Verts et FDP au Parlement allemand, vise à imposer une amende administrative automatique de 2 000 Euro à des députés qui reçoivent trois appels d'ordre dans trois semaines législatives. La pénalité actuelle, fixée par le président du Bundestag, va de 1 000 à 2 000 Euro, selon le nombre de répétitions. Malgré l'encouragement de la FDP pour des débats plus vivants, y compris l'autorisation d'interjections pendant les heures des affaires en Berlin, il semble qu'il y ait des désaccords continus avec la fraction Union sur certaines dispositions.

Lire aussi:

commentaires

Dernier

Un sondage à la sortie des urnes prédisant que le parti travailliste de Keir Starmer remportera 410...

La victoire écrasante du parti travailliste est un triomphe personnel pour Keir Starmer, qui semblait autrefois impossible.

La victoire annoncée du parti travailliste aux élections législatives britanniques marque un moment historique dans l'histoire politique moderne du Royaume-Uni et un énorme triomphe personnel pour Keir Starmer, le leader travailliste qui devrait devenir le prochain premier ministre du pays.

Membres Publique