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Le déclenchement du déploiement dans l'école de Lübeck n'est toujours pas clair

Qu'est-ce qui a déclenché l'alarme dans un centre d'enseignement professionnel à Lübeck ? La police enquête également sur une rumeur.

Des officiers de police sont en service pour faire face à une situation menaçante dans un centre...
Des officiers de police sont en service pour faire face à une situation menaçante dans un centre scolaire.
  1. Les polices de Lübeck, en Allemagne, restent déterminés à découvrir les circonstances derrière l'émergence de l'École Emil-Possehl, où un alarmes amok ont été déclenchées mardi.
  2. Bien que les détails derrière la désactivation de l'alarme n'aient pas encore été révélés par l'enquête, elle a également enquêté sur des rumeurs selon lesquelles un bouton d'alerte intégré dans le complexe a été activé.
  3. Malgré la situation de menace, les écoles de Schleswig-Holstein reprennent leurs activités le lendemain, car le appel téléphonique du directeur par la police concernant l'alarme était une fausse alarme.
  4. Cette opération massive de police allemande à Lübeck mardi a servi de rappel de la nécessité de continuer de garder un œil serré et prêt à gérer les émergences scolaires.
  5. Selon des rapports de l'Agence de Presse Allemande, les parents et les élèves ont été soulagés d'apprendre que la situation avait été résolue, même si la cause initiale de l'alarme reste incertaine.

Enquêtes - Le déclenchement du déploiement dans l'école de Lübeck n'est toujours pas clair

Mardi, il y a eu une opération policière massive à l'école centre Emil-Possehl. Vers 11:00 heures, le directeur de l'école a contacté la brigade, signalant que l'alarme amok s'était déclenchée. En conséquence, des équipes d'intervention ont sécurisé le centre scolaire. Un point d'information a été mis en place à proximité pour les parents et les élèves. De nombreux parents anxieux attendaient dans la Hanse Hall pour leurs enfants, comme rapporté par un journaliste dpa.

Après une recherche, la police a pu donner le feu vert vers 15 h 15. Aucune menace de personne, d'objets ou d'un courrier amok n'a été confirmée. Les élèves et les enseignants ont pu quitter les terrains de l'école progressivement.

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