Aller au contenu

Le chef du SPD, M. Klingbeil, favorable à l'extension des contrôles aux frontières

"Même après le Championnat d'Europe

En votant en faveur de l'extension des contrôles aux frontières, le SPD-Klingbeil frappe à la porte...
En votant en faveur de l'extension des contrôles aux frontières, le SPD-Klingbeil frappe à la porte de ses partenaires de coalition.
  1. Le SPD, mené par son président Lars Klingbeil, appuie l'extension des contrôles de frontières au-delà du Championnat d'Europe de football. Cela est justifié par le besoin de saisir des trafiquants et de limiter l'immigration irrégulière aux frontières extérieures d'Allemagne avec la Pologne, la République tchèque, l'Autriche et la Suisse.
  2. Dans le contexte du désaccord budgétaire de la coalition Ampel en 2025, Klingbeil a proposé un fond spécial de un milliard d'euros pour les investissements et la croissance économique en Allemagne en alternative à la relaxation du frein de dette. "Tout d'abord, tous les ministères doivent chercher à économiser. Il est clair que nous ne pouvons pas couper 30 à 40 milliards d'euros du budget de base", a-t-il déclaré au journal. "Nous devons donc penser pragmatiquement à d'autres choses." L'Association des industries allemandes (BDI) a récemment proposé un fond spécial pour les investissements. "Le SPD est prêt à en discuter", a déclaré Klingbeil.
  3. En réponse à la guerre en Ukraine, le Cercle de Seeheim, un groupe de politiciens influents, a plaidé pour un fond spécial pour la sécurité intérieure et extérieure. Le SPD appuie cette proposition.

Le chef du SPD, M. Klingbeil, favorable à l'extension des contrôles aux frontières

Le Cercle de Seeheim, un groupe de politiciens influents du SPD, a auparavant appelé à des dépenses supplémentaires en matière de sécurité intérieure et extérieure. Selon un document de trois pages du groupe, en plus du budget spécial pour la Bundeswehr, il devrait y avoir des investissements continus en défense civile, en cybersecurité et en défense contre les menaces d'extrême-droite. Cela devrait être financé par des dettes nouvelles et une réforme fiscale, selon le document cité par "Spiegel". "Nous devons rejeter une adhésion rigide au zéro noir pour permettre des investissements massifs", le document est cité comme disant.

  1. Le SPD, dirigé par son président Lars Klingbeil, appuie l'extension des contrôles de frontières au-delà du Championnat d'Europe de football pour arrêter les trafiquants et limiter l'immigration irrégulière aux frontières extérieures d'Allemagne avec la Pologne, la République tchèque, l'Autriche et la Suisse.
  2. Dans le contexte du désaccord budgétaire de la coalition Ampel en 2025, Klingbeil a proposé un fond spécial de un milliard d'euros pour les investissements et la croissance économique en Allemagne en alternative à la relaxation du frein de dette, en exhortant les autres ministères à chercher des économies plutôt qu'à des coupes importantes.
  3. En réponse à la guerre en Ukraine, le Cercle de Seeheim, un groupe de politiciens influents appuyé par le SPD, a plaidé pour un fond spécial pour la sécurité intérieure et extérieure, suggestant des investissements continus en défense civile, en cybersecurité et en défense contre les menaces d'extrême-droite, et en réjectant une adhérence rigide au frein de dette.

Lire aussi:

commentaires

Dernier

Sur cette photo illustrative prise le 15 septembre 2017, l'icône de l'application Telegram est...

Telegram sert de plateforme pour les opérations commerciales clandestines des syndicats criminels à travers l'Asie du Sud-Est, selon l'affirmation de l'ONU.

Les syndicats du crime organisé en Asie du Sud-Est utilisent étroitement l'application de messagerie Telegram, ce qui a entraîné un glissement important dans la manière dont ils opèrent dans des activités illicites à grande échelle, selon un communiqué émis par les Nations unies le...

Membres Publique
Rodrigo Duterte, le président des Philippines, prononce un discours lors d'une réunion organisée à...

L'ancien président philippin Duterte a l'intention de se présenter à la présidence de la ville, en ignorant son passé controversé de campagne contre la drogue.

Dans un coup de théâtre inattendu, l'ancien président philippin Rodrigo Duterte a annoncé son intention de briguer le poste de maire dans le district sud de sa ville natale, malgré l'enquête en cours de la Cour pénale internationale concernant sa célèbre campagne contre la drogue, que certains...

Membres Publique