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Le Bundestag décide d'imposer des amendes pour les nuisances causées par les trottoirs

Le Bundestag se prononce sur des amendes à l'encontre des personnes qui rôdent et harcèlent les femmes enceintes devant les centres de conseil en matière d'avortement. La ministre des affaires féminines, Lisa Paus, considère ce projet de loi comme un "signal fort".

Lisa Paus, ministre fédérale de la Famille, des Personnes âgées, des Femmes et de la Jeunesse,...
Lisa Paus, ministre fédérale de la Famille, des Personnes âgées, des Femmes et de la Jeunesse, demande qu'il n'y ait pas de harcèlement lors des séances de conseil sur l'avortement

Droit à l'avortement - Le Bundestag décide d'imposer des amendes pour les nuisances causées par les trottoirs

Texte suivant une modification législative, le gouvernement fédéral allemand veut protéger plus efficacement les femmes enceintes contre les opposants à l'avortement. Le Bundestag devrait finaliser les règles plus strictes à midi. Selon la ministre fédérale des Familles Lisa Paus (Verts) de l'Agence de Presse Allemande, c'est "un pas important pour renforcer les droits des femmes." Le gouvernement fédéral prévoit d'interdire certaines "comportements inacceptables" à travers une modification de la loi sur le conflit de grossesse, d'après le projet de loi. Ces comportements comprennent l'obstruction intentionnelle d'accès et de sortie des institutions pour les femmes enceintes, la imposition de son opinion, la pression excessive ou la confrontation à des assertions factuelles fausses ou du contenu perturbateur. Les infractions constituent une infraction administrative, selon le projet de loi. Paus a souligné que l'intimidation des femmes enceintes en dehors des centres d'orientation, des cabinets et des cliniques est "inacceptable." Ces sont des femmes qui se trouvent déjà dans une situation difficile et qui sont alors encore intimidées.

L'intimidation des femmes enceintes en dehors des centres d'orientation, des cabinets et des cliniques deviendra une infraction administrative. Il sera dorénavant interdit de bloquer intentionnellement l'accès et le passage à ces institutions, de faire imposer sa opinion à une femme enceinte, de la mettre sous pression excessive ou de la confrontater à des assertions factuelles fausses ou du contenu perturbateur. Les infractions constituent une infraction administrative, selon le projet de loi. Paus a souligné que tels harcèlements sont "inacceptables." Ces sont des femmes qui se trouvent déjà dans une situation difficile et qui sont alors encore intimidées.

Cependant, l'Union regarde la proposition de manière critique. La présidente du Comité juridique Elisabeth Winkelmeier-Becker (CDU) a déclaré à la Rédactionnetzwerk Allemagne : "Le gouvernement rouge-verd-jaune n'a pu fournir des preuves que des problèmes qui ne peuvent être régulés par le droit ordinaire en matière de liberté de parole et de protection contre l'intimidation." Le porte-parole religieux de la fraction unioniste Thomas Rachel (CDU) a déclaré au "Rheinische Post" (vendredi) : "Il existe déjà des possibilités légales pour empêcher les embouteillages, les insultes et la coercition."

Selon le projet de loi, les comportements "perceptibles" dans un rayon de 100 mètres autour de l'aire d'entrée de telles institutions seront couverts par l'amendement. Cela rend plus clair que la femme n'est pas responsable de protéger elle-même et de dégager la voie vers l'orientation, a expliqué Paus de plus. Le gouvernement fédéral veut mettre fin à la "file de pointe armée" pour les femmes enceintes. Cependant, une équilibre sera également maintenue à l'égard de droits importants tels que la liberté de parole et d'assemblée, a assuré.

La modification de la loi sur le conflit de grossesse vise à interdire l'intimidation des femmes enceintes, y compris l'obstruction d'accès aux institutions, la imposition d'opinions, l'application de pression ou la diffusion d'informations fausses, qui seront considérées comme une infraction administrative. Lisa Paus, la ministre familiale du Bundestag, a souligné qu'il s'agit de "crucial" pour protéger les femmes dans des situations vulnérables. Une opposition à la proposition provient de l'Union, qui arguent qu'il n'y a pas besoin d'une loi spéciale car le droit ordinaire peut aborder l'intimidation et l'intimidation.

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