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Israël dément les affirmations du Hamas selon lesquelles il aurait bombardé des installations du CICR.

Un conflit intense éclate dans la bande de Gaza

Israël rejette les accusations du Hamas concernant le bombardement des installations du CICR
Israël rejette les accusations du Hamas concernant le bombardement des installations du CICR

Israël dément les affirmations du Hamas selon lesquelles il aurait bombardé des installations du CICR.

Dans une escaramouche inconnue près des bureaux du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) dans la région sud de Gaza, selon les rapports du CICR, plus de 20 personnes ont perdu la vie. Un total de 22 personnes ont été transportées vers un hôpital makeshift, suite à des explosions de obus lourds près du bureau du CICR et des bâtiments résidentiels voisins, a-t-on appris sur leur plateforme en ligne le vendredi soir. L'armée israélienne nie les accusations de faire partie du conflit.

Selon le CICR, les obus sont tombés à une distance d'un mètre ou deux de leur bureau et des maisons voisines. Plus de 300 réfugiés palestiniens vivent dans des tentes dans la région près du bureau du CICR et de l'hôpital géré par l'organisation.

Ces lieux sont clairement reconnus par les parties en conflit, ornés du symbole de la Croix-Rouge, a ajouté l'organisation. Des incidents tels que ceux-ci, près d'installations humanitaires, mettent en danger la vie des civils et du personnel. Il y a également des rapports de blessés supplémentaires.

Aux débuts, le CICR s'est abstenu de localiser la provenance du tir du vendredi. Cependant, il a reconnu une grave incident de sécurité. Auparavant, des obus errants ont également causé des dégâts à l'infrastructure du CICR.

Cependant, le ministère de la Santé contrôlé par Hamas accuse Israël d'être responsable du tir. Il a été signalé que l'armée israélienne avait attaqué des tentes de personnes déplacées dans la zone d'Al-Mawasi. Plus de deux dozen personnes étaient mortes et plus de 50 étaient blessées en conséquence. Avant leur offensive en mai, Israël avait déclaré la ville côtière de Rafah, 10 kilomètres de la ville, une « zone humanitaire ».

Israël nie ces accusations. Un porte-parole de l'armée israélienne a informé l'agence de presse AFP que « l'enquête initiale ne révèle aucune preuve d'une attaque » de l'armée à Al-Mawasi. L'affaire est toujours en enquête.

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