Notification de l'Office de protection de la Constitution - Fuite de dossiers de la NSU : La justice hessoise met fin aux enquêtes
La justice en Hesse ne questionne plus qui est à l'origine de faire publier les fichiers secrets du "Frag den Staat" et du "ZDF Magazin Royale" de Jan Böhmermann. Les enquêtes pour haute trahison ont échoué, comme en témoigne récemment une demande sous le régime de la Liberté d'Information effectuée par "Frag den Staat".
Les documents volés provenaient de l'Agence constitutionnelle hessienne. L'agence avait mené ses propres enquêtes sur des liens potentiels avec le "National-Socialist Underground" (NSU) en matière d'extrémisme d'extrême-droite.
Classé secret pendant 120 ans
Le rapport de 2014 était initialement classé secret pendant 120 ans, mais plus tard le délai a été réduit à 30 ans. Les proches des victimes de l'NSU, de nombreux politiciens et politiciens, et plus de 130 000 signataires de pétitions avaient exigé pendant des années que le rapport soit rendu public. La clarification complète de l'État en matière de l'NSU pouvait seulement être obtenue si l'Agence constitutionnelle faisait publique ses enquêtes, comme le disait-on.
L'NSU avait pu commettre des meurtres impunément en Allemagne pendant des années. Les victimes des terroristes d'extrême-droite étaient huit personnes d'origine turque et un petit propriétaire d'affaires grec, ainsi qu'une policière. Le groupe était connu en 2011 grâce à une révélation auto-destructrice.
Où "Frag den Staat" et le "ZDF Magazin Royale" ont obtenu les papiers n'est toujours inconnu. Dès la publication des fichiers de l'NSU, l'Agence constitutionnelle hessienne a déposé plainte auprès de la police criminelle de Wiesbaden. En raison, l'agence a déclaré la "diffusion illégale d'informations confidentielles". Avec cela, elle a confirmé indirectement l'authenticité des documents publiés. Le parquet a confirmé à la demande de "Frag den Staat" que les poursuites investigatives avaient été interrompues en juin 2023, car aucun suspect n'avait pu être identifié.
Fichiers NSU sur Internet
- La publication des fichiers NSU sur la plateforme "Frag den Staat" et le "ZDF Magazin Royale" a engendré des discussions intenses à propos de la justice et de la responsabilité face au terrorisme, particulièrement l'extrémisme d'extrême-droite.
- La presse, y compris Jan Böhmermann et diverses sources, ont joué un rôle décisif dans la mise au jour des activités de la cellule terroriste NSU, malgré les contestations et les défis juridiques.
- Les documents volés de l'Agence constitutionnelle hessienne ont conduit à une augmentation de la surveillance et de la critique envers la gestion des enquêtes de l'Agence concernant l'NSU.
- En Allemagne, il existe une forte détermination pour protéger la constitution et mettre en application la justice, même dans les cas de profil élevé tels que la cellule terroriste NSU.
- Les actions de la cellule terroriste NSU soulignent l'importance d'une enquête approfondie et de la transparence pour prévenir de futures occurrences de terrorisme et d'extrémisme d'extrême-droite.
- La réaction publique et la pétition pour la libération du rapport de 2014 sur des liens possibles avec l'NSU soulignent l'importance de la transparence et de la confiance du public envers les agences gouvernementales.
- Alors que les autorités de Wiesbaden enquêtaient sur la diffusion illégale d'informations confidentielles liées aux fichiers NSU, le ZDF et "Frag den Staat" ont continué à montrer leur engagement envers l'exposition et la discussion des questions importantes.
- Le cas de la cellule terroriste NSU et les documents volés servent de rappel complexe de l'intersection entre le terrorisme, la justice, l'extrémisme d'extrême-droite, la presse et la protection de la constitution en Allemagne.