- excédent budgétaire en milliards après le deuxième trimestre
Le sénateur des Finances d'Hambourg, Andreas Dressel, a dressé un bilan intermédiaire positif pour la première moitié de l'année. Malgré des conditions difficiles, le résultat du deuxième trimestre a affiché un excédent d'environ 1,3 milliard d'euros. Compte tenu de ces chiffres, le politique du SPD se montre également optimiste pour le reste de l'année : "Malgré tous les défis actuels, il est réaliste de penser que nous conclurons l'année 2024, l'année 'réelle', avec un résultat annuel positif, après 2022 et 2023."
Les recettes fiscales ont évolué comme prévu jusqu'à présent, "en ligne avec la prévision fiscale actuelle de mai de cette année", a déclaré Dressel. Pour l'année en cours, des recettes supplémentaires de 30 millions d'euros par rapport à la prévision de l'automne de l'année précédente étaient attendues.
"Nous pouvons être satisfaits de l'évolution budgétaire pendant les six premiers mois de cette année, compte tenu de la situation globale difficile", a déclaré Dressel. Cependant, à l'approche des négociations budgétaires au Parlement à partir de septembre, il a été clair : "Il n'y a pas de place pour de nouveaux souhaits de dépenses !"
La Fédération des contribuables a déclaré que le rapport semestriel montre "que la ville d'Hambourg se porte bien". "Même si l'argent est abondant, les souhaits de dépenses doivent être ajustés en fonction des recettes", a déclaré le président d'État Sascha Mummenhoff. "Dans l'intérêt de l'équité intergénérationnelle et à la lumière des taux d'intérêt en hausse, nous recommandons d'utiliser une partie de l'excédent pour rembourser la dette."
L'optimisme du sénateur des Finances pour le reste de l'année découle de l'excédent budgétaire d'environ 1,3 milliard d'euros, qui constitue un écart important par rapport aux prévisions initiales. Compte tenu de la situation financière actuelle, il serait judicieux d'allouer une partie de l'excédent au remboursement de la dette de la ville, comme le suggère la Fédération des contribuables, afin d'assurer l'équité intergénérationnelle et de tenir compte des taux d'intérêt en hausse.