Aller au contenu

États-Unis construisent à nouveau un port provisoire devant la bande de Gaza.

Opération inédite

C'est coûté approximativement 300 Millions de Dollars pour construire le quai.
C'est coûté approximativement 300 Millions de Dollars pour construire le quai.

États-Unis construisent à nouveau un port provisoire devant la bande de Gaza.

Dans la bande de Gaza, la population subit une crise sociale en raison de la guerre entre l'organisation terroriste Hamas et Israël. Les États-Unis construisent un port provisoire, à partir duquel des fournitures d'aide humanitaire peuvent être livrées par camion par voie maritime. Un projet coûteux qui sera terminé après deux mois.

Les États-Unis annoncent officiellement la fin de l'opération d'un port provisoire le long de la côte de la bande de Gaza. La mission est terminée, a annoncé la commandement militaire régional des États-Unis. Des détails sur une nouvelle voie d'approvisionnement en aide humanitaire vers la bande de Gaza via le port d'Ashdod en Israël sont en préparation. Des informations détaillées n'étaient pas encore disponibles.

Le quai était initialement prévu comme une solution temporaire. Depuis sa mise en service en mai, cependant, des problèmes se sont présentés. Des vagues rugueuses ont sévèrement endommagé le quai le long de la côte de la bande de Gaza. La distribution d'aide humanitaire à la population souffrante en bande de Gaza était également plus difficile que prévu.

Le représentant du Commandement central des États-Unis a essayé de présenter le projet comme un succès. Selon les estimations militaires des États-Unis, le quai a atteint son objectif, savoir de fournir une grande quantité d'aide humanitaire à la bande de Gaza et d'assurer que l'aide atteigne rapidement la population civile de la bande de Gaza.

Le quai a fonctionné approximativement durant deux mois

Depuis la guerre entre Israël et l'organisation terroriste Hamas, il y a une crise humanitaire dans la bande de Gaza depuis des mois. Pour la première fois, des camions transportant de l'aide humanitaire ont atteint la bande de Gaza via le port provisoire le 17 mai. Le coût du port est estimé à environ 300 millions de dollars (276 millions d'euros) par le Pentagón.

Les attentes envers le projet étaient élevées : Le Pentagón avait initialement supposé que près de 90 camions de chargement pouvaient être transportés quotidiennement vers la bande de Gaza via le port au départ. Plus tard, il était prévu que jusqu'à 150 camions de chargement pouvaient être transportés quotidiennement.

Les navires transportaient de l'aide humanitaire de Chypre vers une plateforme flottante plusieurs kilomètres au large de la côte de la bande de Gaza à première instance. Le chargement était ensuite transféré vers des navires plus petits qui pouvaient approcher plus près de la côte. Ces navires ont finalement amarré au quai flottant ancré en mer, à partir duquel l'aide devait être reçue et distribuée par des organisations humanitaires.

Les organisations humanitaires ont accueilli la construction de la structure avec joie, mais ont souligné que le transport terrestre était beaucoup plus efficace. Le gouvernement américain a souligné que la voie maritime sur la Méditerranée ne remplacerait pas le transport terrestre et les livraisons aériennes, mais ne les remplacerait que.

  1. Malgré les défis rencontrés avec le port provisoire, les États-Unis de l'Amérique restent engagés dans des programmes d'aide à la bande de Gaza, comme le montre la planification d'une nouvelle voie d'approvisionnement en aide humanitaire via le port d'Ashdod en Israël.
  2. Les États-Unis de l'Amérique ont joué un rôle significatif dans la situation Israël-bande de Gaza, avec l'opération du port temporaire en mer contribuant à livrer beaucoup de l'aide nécessaire à la population pendant la crise en cours.
  3. Le port provisoire, malgré son fonctionnement durant seulement deux mois, a été instrumental dans la livraison d'aide humanitaire à la bande de Gaza pendant la période de guerre israélo-palestinienne, surmontant les défis posés par des vagues rugueuses et des problèmes logistiques.

Lire aussi:

commentaires

Dernier