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Entraîneur Fischer : dans le tunnel au coup d'envoi, lumière au coup de sifflet final

Les Eisernen voulaient aussi profiter de leur première saison en Ligue des champions. Mais les résultats obtenus jusqu'à présent et la crise persistante des résultats ne le permettent guère. A Naples, ils veulent tenter à nouveau leur chance.

Janik Haberer (à droite) de Berlin se bat pour le ballon contre Mergim Berisha d'Hoffenheim..aussiedlerbote.de
Janik Haberer (à droite) de Berlin se bat pour le ballon contre Mergim Berisha d'Hoffenheim..aussiedlerbote.de

Entraîneur Fischer : dans le tunnel au coup d'envoi, lumière au coup de sifflet final

La première saison de l'Union Berlin dans la catégorie des champions européens ne doit en aucun cas se transformer en quête de zéro point. Avant le premier match de Ligue des champions de l'histoire du club, l'entraîneur Urs Fischer n'avait cessé de répéter qu'ils devaient aussi profiter de ces matchs. Mais lors de la quatrième journée, les Eisernen sont déjà menacés d'échec. S'ils perdent à nouveau ce mercredi (18h45/DAZN) chez le SSC Naples, ils ne pourront pas non plus se qualifier pour la phase à élimination directe lors des deux matchs restants. Et ce, après désormais douze défaites consécutives dans trois compétitions.

"Bien sûr, ce n'est pas la même jouissance quand tu vis une telle phase", a déclaré Fischer lors de la conférence de presse au Stadio Diego Armando Maradona. Malgré tout, ils doivent essayer "parce que nous avons travaillé dur pendant un an pour y arriver".

Après la promotion en 2019, les Unioner avaient réussi à se maintenir de manière souveraine lors de leur première saison en Bundesliga. Il s'en est suivi une qualification pour la Ligue des Conférences, puis pour l'Europa League et, à la surprise générale, pour la Ligue des Champions la saison dernière.

Pour pouvoir jouer au football avec succès, il faut aussi avoir la joie et le plaisir nécessaires, a souligné Fischer. Lors des journées de préparation au match à Naples, son équipe lui a montré "qu'elle était prête à tout tenter pendant 90 minutes pour ramener les trois points à Berlin". A la question de savoir dans quelle mesure il pouvait apprécier le match, le Suisse de 57 ans a répondu : "Quand un match commence, je suis dans le tunnel". Lorsque l'arbitre "siffle la fin du match, je vois à nouveau un peu de lumière".

Source: www.dpa.com

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