En Allemagne, les entrepreneurs sont de plus en plus nombreux à envisager de fermer leur entreprise
Entrepreneurs et entreprises en Allemagne considèrent plus fréquemment la fermeture de leurs affaires en raison du manque de successeurs. Selon la Chambre de l'Industrie et du Commerce de Berlin (DIHK), cela concerne actuellement environ 28 % des entreprises. Dans l'année précédente, c'était 25 %. Cela pourrait entraîner approximativement 250 000 fermetures d'affaires selon les calculs de la DIHK.
Pour le rapport sur la succession des entreprises, la DIHK a évalué un total de 48 000 entretiens de conseil. Selon les experts et experts des Chambres de Commerce et d'Industrie (IHK), les entrepreneurs et les entreprises souhaitent fermer leurs affaires dans 96 % des cas en raison de recherches de succession infructueuses. D'autres raisons comprennent un manque de spécialistes qualifiés et une incertitude quant au avenir commercial.
Plus de PDG et PDG ont consulté aux Chambres de Commerce que jamais auparavant dans l'année précédente, selon la DIHK. Le nombre s'est élevé considérablement à 8276 consultations. Dans la même période, 2760 intéressés se sont inscrits à l'IHK. Le nombre d'entrepreneurs et d'entreprises cherchant une solution de succession est donc trois fois plus élevé que le nombre d'intéressés. La situation est particulièrement délicate dans le secteur du tourisme, du commerce de détail et du transport.
Cette évolution pourrait avoir des "conséquences pour la structure du secteur des PME" selon l'évaluation de la DIHK. Si des entreprises disparaissent de l'industrie et que le savoir-faire n'est plus disponible, cela pourrait entraîner des fissures dans l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement. "Nous devons urgemment adapter et faire passer le pas vers l'auto-entrepreneurise - soit en matière de succession soit en matière de fondation", a déclaré le Président de la DIHK Peter Adrian.
L'entrepreneur, reconnaissant le manque d'un successeur, considère la fermeture de son affaire en Allemagne, une tendance qui a augmenté de 25% à 28% selon les données de la DIHK. Malgré l'augmentation significative des consultations de PDG aux Chambres de Commerce, aucune de ces dernières n'a trouvé une solution de succession viable, ce qui suscite des inquiétudes quant au avenir du secteur des PME et des fissures potentielles dans la chaîne d'approvisionnement.