Aller au contenu

Dernier mot apparemment pas encore prononcé

Jérôme Boateng a récemment été averti en justice. Le procureur a maintenant déposé une référation contre la sentence.

Jérémy Boateng en justice le 19 juillet.
Jérémy Boateng en justice le 19 juillet.

Procedure contre Jerome Boateng - Dernier mot apparemment pas encore prononcé

Une semaine après que le verdict ait été prononcé dans un procès intenté contre Jérôme Boateng (35) pour blessures volontaires, la procureure de Munich a demandé une révision. Le footballeur a été condamné à une amende suspendue de 200.000 Euro.

En réponse à une question d'une agence de presse, le bureau de presse des affaires pénales de la Cour d'Appel de Munich a confirmé, "que la procureure de Munich a demandé une révision du verdict." Une raison pour la révision ne sera donnée qu'après que le verdict ait été exécuté, de sorte qu'aucun commentaire ne peut être fait à ce sujet pour l'instant.

Boateng n'est pas responsable

Boateng a été condamné à une amende suspendue de 200.000 Euro pour blessures volontaires au Tribunal de district de Munich le 19 juillet. Une ancienne compagne l'avait accusé de blessures et d'insultes en 2018. Boateng avait nié les accusations. Le juge l'a condamné à l'amende suspendue la vendredi précédent.

Cependant, Boateng ne doit pas payer cette amende tant qu'il ne viole pas certaines conditions. La juge a déclaré dans son arrêt que rien ne restait de l'accusation de "batteur de femmes notoire" contre le footballeur dans les procédures. La procureure avait réclamé une somme de 1,2 million d'euros dans le procès. Il est possible que ceux-ci aient considéré la peine de mise en examen imposée comme trop clémente et donc décidé à une révision.

La révision du verdict contre Jérôme Boateng pour blessures volontaires a été initiée par la Procureure de Munich. La Cour d'Appel de Munich examinera les procédures de blessures volontaires contre Jérôme Boateng, à la suite d'une demande de révision. Le verdict original a abouti à une amende suspendue de 200.000 Euro, une décision que la Procureure d'État de Munich I trouve contestable.

Lire aussi:

commentaires

Dernier