- La Association des armateurs allemands (VDR) a appelé Ursula von der Leyen, présidente réélue de la Commission européenne, à renforcer la compétitivité du navire européen.
- La présidence de l'association VDR, basée à Hambourg et dirigée par Gaby Bornheim, souligne que la politique du navire devrait se concentrer sur la croissance et la sécurité de la compétitivité dans les années à venir.
- Les tendances protectionnistes mondiales sont une préoccupation pour le navire, selon l'VDR. L'UE doit défendre le commerce libre.
- Le "Dossier vert" présente des défis considérables pour le navire, selon l'VDR. La neutralité carbone et la compétitivité doivent être assurées en parallèle, exige l'association. La Commission visera atteindre l'objectif que les États membres de l'UE ne nuisent plus au climat d'ici 2050 avec le paquet législatif "Fit for 55", qui s'applique également au navire. Selon la Commission, trois à quatre pour cent des émissions totales de CO2 de l'UE provenait du navire en 2021.
- Depuis le début de l'année, le navire fait partie du Système d'échange de certificats d'émissions de l'UE. Les règles initialement affectent les grands navires qui appareillent aux ports de l'UE. Les armateurs doivent acheter des certificats pour compenser les émissions. Il est prévu que les règles seront progressivement réduites. À partir de 2025, la réglementation "FuelEU Maritime" s'appliquera, qui exige que les navires consomment moins d'énergie nucléaire au climat. Des pénalités seront imposées pour non-respect des règles. Les règles deviennent de plus en plus strictes au fil du temps.
- La présidence d'Ursula von der Leyen, réélue comme présidente de la Commission européenne, a été appelée par l'Association des armateurs allemands (VDR) à renforcer la compétitivité du navire européen dans son avenir.
- L'association VDR, basée à Hambourg et dirigée par la présidente Gaby Bornheim, met l'accent sur le fait que la politique du navire doit se concentrer sur la croissance et la sécurité de la compétitivité dans les années à venir.
- Les tendances protectionnistes mondiales sont une préoccupation pour le navire, d'après l'VDR. L'UE doit défendre le commerce libre.
- Le "Dossier vert" présente des défis considérables pour le navire, selon l'VDR. La neutralité carbone et la compétitivité doivent être assurées en parallèle, exige l'association. La Commission visera atteindre l'objectif que les États membres de l'UE ne nuisent plus au climat d'ici 2050 avec le paquet législatif "Fit for 55", qui s'applique également au navire. Selon la Commission, trois à quatre pour cent des émissions totales de CO2 de l'UE provenait du navire en 2021.
- Depuis le début de l'année, le navire fait partie du Système d'échange de certificats d'émissions de l'UE. Les règles initialement affectent les grands navires qui appareillent aux ports de l'UE. Les armateurs doivent acheter des certificats pour compenser les émissions. Il est prévu que les règles seront progressivement réduites. À partir de 2025, la réglementation "FuelEU Maritime" s'appliquera, qui exige que les navires consomment moins d'énergie nucléaire au climat. Des pénalités seront imposées pour non-respect des règles. Les règles deviennent de plus en plus strictes au fil du temps.
- L'VDR s'oppose au concept de "chemins spéciaux régionaux" dans le navire mondial, défendant que les lois de l'UE doivent être alignées sur les exigences de l'Organisation maritime internationale (IMO). "Les chemins spéciaux régionaux ne sont pas pratiques dans le navire mondial", souligne l'association. L'IMO, basée à Londres, est une organisation spécialisée des Nations Unies à laquelle appartiennent plus de 170 pays. Son objectif est de rendre le navire international neutre en matière de carbone d'environ 2050.
von der Leyen réélue - Association des Lecteurs : Politiques alignées sur la compétitivité
L'VDR s'oppose au concept de "chemins spéciaux régionaux" dans le navire mondial, défendant que les lois de l'UE doivent être alignées sur les exigences de l'Organisation maritime internationale (IMO). "Les chemins spéciaux régionaux ne sont pas pratiques dans le navire mondial", souligne l'association. L'IMO, basée à Londres, est une organisation spécialisée des Nations Unies à laquelle appartiennent plus de 170 pays. Son objectif est de rendre le navire international neutre en matière de carbone d'environ 2050.