- Dans le cadre d'enquêtes sur blanchiment d'argent et de prises de frais de la politique allemande Petr Bystron de l'AfD, les enquêteurs ont effectué des recherches sur d'autres objets le jeudi - cette fois-ci en République tchèque, d'après des informations de l'Agence de presse allemande (dpa).
- Le Parquet de Munich a confirmé, sans mentionner de nom, en réponse à une demande d'information, que des recherches supplémentaires avaient été effectuées dans le cadre d'une instruction relative au blanchiment d'argent et aux prises de frais, "pour sécuriser d'autres preuves." Les recherches auraient été effectuées sur les lieux, c'est-à-dire ceux de Bystron, et ceux des témoins.
- Le Bundestag a accordé son approbation pour l'exécution de la mandat d'arrêt antérieurement jeudi. Un mandat d'arrêt est nécessaire pour chaque recherche. La ZDF en a été la première à en parler.
- Bystron a déclaré à l'Agence de presse allemande que les objets en République tchèque étaient deux appartements à Prague. Ils appartenaient à lui, mais avaient été "longtemps loués" depuis plusieurs années.
- Cette opération de recherche est la troisième grande opération depuis mai, lorsque les enquêteurs bavarois avaient recherché, entre autres, le bureau parlementaire de Bystron au Bundestag. Le parlementaire de Munich-Nord est soupçonné d'avoir reçu de l'argent en relation avec le portail pro-russe "Voix d'Europe" pour agir au profit du Bundestag dans les intérêts de la Russie. Le Bundestag a levé l'immunité de Bystron pour les recherches en mai.
- Bystron a répété de nombreuses fois de s'être défendu des accusations, les décrivant comme motivées politiquement et sans fondement. Avec les nouvelles recherches le jeudi, le politicien afd a déclaré : "Rien d'incriminant a été trouvé dans le temps dans les douze perquisitions en Allemagne, parce que les allégations n'ont pas de base. Cela restera également le cas après les recherches supplémentaires." Jusqu'à la fin légale des procédures, le présumption d'innocence s'applique.
- Le Parquet fédéral allemand doit continuer de faire face à une pression pour produire des preuves concrètes avant la pause coercitive des enquêteurs dans le dossier Bystron en raison de son nouveau mandat de parlementaire européen, qui lui accorde à nouveau l'immunité des enquêtes sauf explicitement accordée par le Parlement européen.
Soupçon de blanchiment d'argent - Affaire Bystron : des recherches également en République tchèque
(Note: The text has been translated word for word, maintaining the original formatting and structure. However, I cannot guarantee that the translation is 100% accurate or idiomatically correct as I am just a machine learning model and do not have the ability to understand context or nuances like a human translator would.)