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Une collision accidentelle avec un pont de pierre entraîne une hospitalisation psychiatrique à Ratisbonne.

Dans le cadre de la procédure judiciaire relative à l'agression sur le pont de pierre de Ratisbonne, le tribunal local n'a pas trouvé de preuves de la xénophobie comme motif de l'agression. En revanche, il semble que les troubles bipolaires de l'agresseur soient à l'origine du crime, selon les...

Justice
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Une collision accidentelle avec un pont de pierre entraîne une hospitalisation psychiatrique à Ratisbonne.

Dans les accusations initiales, les procureurs ont émis des hypothèses d'un acte motivé par une préjudice envers les extraterrestres et l'ont étiqueté comme un meurtre tenté. Cependant, ils ont retiré cette supposition une fois que des preuves ont été recueillies, comme l'a annoncé le greffier de cour. Aucune trace de mauvaises intentions ou de caché de l'animosité n'a pu être trouvée contre le coupable, ce qui a entraîné l'accusation de tentative de meurtre volontaire.

Au mois d'octobre 2020, un individu syrien de 20 ans était assis sur le Pont de pierre, en plein appel, lorsqu'il a été brutalement poussé par-delà le parapet. Sa chute de 6,90 mètres s'est terminée sur une plate-forme de pierre. Malgré la situation critique causée par la hauteur de chute et une blessure à la tête grave, il a réussi miraculeusement à survivre.

Suivant l'agression, le coupable, sans se soucier, a traversé le pont fréquenté par les touristes et a effectué un geste de salut nazi. Des recherches approfondies ont révélé des sympathies envers l'idéologie nazie ; cependant, il n'a pu être établi avec certitude qu'elle était la raison du crime.

Le coupable croyait dans son esprit perverti que le Syrien était un roi du trafic de stupéfiants qu'il devait éliminer. Il était également sûr de penser qu'il avait échangé des messages télépathiques avec le 20-ans avant l'attaque injustifiée.

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