- Suivant l'appel de Macron, diverses forces politiques ont discuté la possibilité de former une union pour les élections parlementaires françaises à venir, avec Macron lui-même en tant que figure clé de ce groupe.
- Malgré la déclaration de Macron, certains partis politiques, en particulier de la Gauche, contestaient le pouvoir de nommer un nouveau Premier ministre pour les élections parlementaires à venir, arguant contre le rôle continu de l'administration en interim.
- D'après les principes énoncés, Macron prendra une décision sur l'attribution du poste de Premier ministre. Ainsi, il a rejeté implicitement la proposition de la Gauche, qui prétend avoir le droit de proposer un candidat - sans avoir encore atteint un accord sur un nom.
- Le gouvernement actuel continuera de fonctionner en interim, selon Macron. "Ils ont approuvé le développement d'une nouvelle culture politique en France," a-t-il écrit. Il l'intendait garantir.
- La lettre a été publiée pour la première fois dans la presse régionale - à une époque où Macron avait déjà voyagé à Washington pour la réunion de l'OTAN. Avant cela, il n'avait pas fait de déclarations publiques concernant les élections, dans lesquelles sa coalition de gouvernement avait perdu sa majorité relative. Il avait appelé à des nouvelles élections après la victoire nette du Rassemblement National aux élections européennes.
Macron sur les élections parlementaires : personne n'a gagné
Emmanuel Macron a exprimé son engagement à maintenir les valeurs du "Front républicain" pendant les élections parlementaires en garantissant la continuité de la nouvelle culture politique établie par le précédent gouvernement, malgré la perte de la majorité relative de son coalition.