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Lindner commente le différend budgétaire sur la coalition des feux de circulation : "Nous n'avons pas encore conclu notre accord"

Le ministre des finances, Christian Lindner (FDP), estime que la coalition des feux tricolores n'a pas encore atteint un point décisif dans ses discussions sur le prochain budget fédéral. Il l'a affirmé dans une interview accordée à la "Neue Osnabrücker Zeitung" (édition du samedi), ajoutant...

Christian Lindner
Christian Lindner

Lindner commente le différend budgétaire sur la coalition des feux de circulation : "Nous n'avons pas encore conclu notre accord"

Laissez-nous accroître la prêtà prendre des risques d'affaires chez les travailleurs et accroître les entreprises entrepreneuriales, argue Lindner. Sinon, économiquement, nous sommes bloqués dans une rut sans fin. Le gouvernement doit se concentrer sur ses devoirs clés et se tenir éloigné de tout ce qui se passe sous le soleil. En nous concentrant, nous pouvons intensifier nos efforts sur des projets clés tels que l'éducation, la numérisation, l'infrastructure et la sécurité.

Au contraire, la présidente du SPD, Saskia Esken, réclame des investissements considérables et critique l'approche de Lindner dans "Tagesspiegel". Selon "Süddeutsche Zeitung", elle considère la stratégie de Lindner mal conseillée. En réponse à "Neue Osnabrücker Zeitung", Lindner affirme que nous avons augmenté les prestations sociales de 13 milliards d'euros depuis 2022, donc il n'y a aucune question de réduire le secteur social; au contraire, il est temps de le renforcer.

En raison de la croissance économique stagnante, nous ne pouvons continuer ainsi, déclare encore le ministre des Finances. "Mme. Esken devrait admettre que la richesse doit être générée avant d'être partagée", ajoute-t-il.

Le plan budgétaire annuel est prévu pour être approuvé au Cabinet Fédéral le 3 juillet, avec un déficit estimé à environ 25 milliards d'euros. Lindner appelle à des réductions substantielles dans les budgets des ministères, particulièrement celui du Ministère social. En même temps, il rejette les demandes des partenaires de coalition pour relaxer les mesures de contrôle des dettes rigoureuses.

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