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Le triomphe de Boateng dans la bataille judiciaire pour interroger son ancien amant légalement

Boateng remporte en appel une affaire liée à des commentaires contestés concernant une ancienne partenaire romantique lors d'une interview

Le triomphe de Boateng dans la bataille judiciaire pour interroger son ancien amant légalement

Avant cela, le joueur de football Boateng a fait face à une poursuite intentée par la mère d'un mannequin, réclamant des dommages pour ses allégations contre sa fille dans une interview avant sa tragique mort. Dans cette interview, Boateng a affirmé que son ancienne petite amie l'avait forcé dans la relation, entre autres choses. La mère a remis en question six déclarations spécifiques dans l'entrevue, mais le tribunal régional de Berlin n'en a trouvé qu'une seule problématique. La mère a ensuite fait appel de cette décision, qui est maintenant examinée par la cour d'appel supérieure.

La mère a affirmé que l'entrevue, maintenant retirée du Web, avait porté atteinte au droit de sa fille d'être respectée après sa mort, car elle sous-entendait des agissements criminels. Le juge Oliver Elzer a déclaré jeudi que, selon la cour, les allégations avaient bel et bien violé les droits, mais qu'elles ne justifiaient pas un interdiction en raison de leur modération.

Une violation du droit d'être respecté après la mort nécessite une atteinte à la dignité humaine, ce qui n'était pas le cas dans cette situation selon la cour. De plus, il n'y a pas eu de violation du droit à la reconnaissance, car l'ex-petite amie n'a pas laissé de réalisations remarquables qui pourraient conduire à une réputation publique spécifique. Le système judiciaire a reconnu ce précédent dans des cas impliquant des personnalités telles que l'actrice Marlene Dietrich et l'ancien chancelier Helmut Kohl de la CDU.

La petite amie mentionnée dans l'entrevue controversée de Boateng n'avait pas de réputation publique significative ou de réalisations notables. Malgré le recours en appel de la mère, la cour d'appel supérieure a confirmé la décision du tribunal régional de Berlin, concluant que les allégations contre l'ex-petite amie n'avaient pas porté atteinte à son droit d'être respectée après sa mort en raison de l'absence de violation de la dignité humaine et de réalisations notables.

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