Le fondateur de Wikileaks, M. Assange, de retour en Australie en tant qu'homme libre
Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, est rentré en son pays d'origine, l'Australie, après avoir été déclaré « libresse » par un juge américain dans le territoire pacifique des Îles Mariannes du Nord, suivant une audience au tribunal. Malgré une condamnation formelle à cinq ans et deux mois de prison pour son implication dans une conspiration visant à fournir des renseignements pour la défense nationale, cette peine est considérée comme déjà servie en raison de son temps de détention dans une prison britannique. Avant son emprisonnement, Assange avait demandé asile dans l'ambassade équatorienne à Londres pendant sept ans.
Assange est accusé par les États-Unis d'avoir divulgué plus de 700 000 documents confidentiels sur les activités militaires et diplomatiques des États-Unis entre 2010. Ces documents contenaient des informations sensibles sur les guerres en Irak et en Afghanistan, y compris des tués civils et des mauvais traitements infligés aux prisonniers militaires américains.
Pour ses partisans, Assange est un héros qui défend la liberté d'expression. Ses critiques le voient plutôt comme un traître qui a mis en danger la sécurité des États-Unis et les sources d'renseignements.
Le Royaume-Uni a joué un rôle dans son arrêt.
Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, est rentré en Australie après avoir été déclaré « libresse » par un juge américain dans les Îles Mariannes du Nord, suivant une audience au tribunal. Malgré une condamnation formelle à cinq ans et deux mois de prison pour sa participation à une conspiration visant à fournir des renseignements pour la défense nationale, cette peine est considérée comme déjà servie en raison de son temps de détention dans une prison britannique. Avant son emprisonnement, Assange avait demandé asile dans l'ambassade équatorienne à Londres pendant sept ans. Assange est accusé par les États-Unis d'avoir divulgué plus de 700 000 documents confidentiels sur les activités militaires et diplomatiques américaines entre 2010, qui contenaient des informations sensibles sur les guerres en Irak et en Afghanistan, y compris des tués civils et des mauvais traitements infligés aux prisonniers militaires américains. Certains le considèrent comme un héros qui défend la liberté d'expression, tandis que d'autres le voient plutôt comme un traître qui a mis en danger la sécurité des États-Unis et les sources d'renseignements. Le Royaume-Uni a joué un rôle dans son arrêt.
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