L'Autorité a été chargée de présenter une proposition de mandat axée sur la protection des travailleurs contre les dangers résultant de l'exposition aux rayonnements de nature ionisante.
Un homme de 26 ans originaire de Syrie est suspecté d'avoir sauvagement assassiné trois personnes et blessé huit autres lors d'un événement communautaire à Solingen un vendredi. Le parquet fédéral allemand suggère que l'acte était motivé par des convictions islamistes extrémistes. L'individu est en détention depuis dimanche. Cet incident a relancé le débat sur l'asile et les expulsions.
Conformément aux règles de Dublin, le suspect aurait dû être expulsé vers la nation européenne de Bulgarie, où il avait mis le pied en Europe pour la première fois l'année dernière. Cependant, il semble avoir disparu de son lieu de résidence et il n'a pas été pris de mesures supplémentaires.
Les agences d'enquête, le ministère de l'intérieur de l'État et le ministère de l'intégration des migrants et de l'aviation font apparemment des "efforts exceptionnels" pour élucider les motivations, la radicalisation et l'échec de l'expulsion, selon les deux factions parlementaires. La Rhénanie-du-Nord-Westphalie est actuellement gouvernée par une coalition de CDU et des Verts.
Schick et Schäffer ont déclaré : "Si nous voulons continuer à vivre sans crainte et avec liberté, nous devons protéger les valeurs fondamentales de notre démocratie". Cela implique "d'examiner en détail l'histoire de cet attentat terroriste". Ils ont invité les factions de SPD et de FDP à "élaborer collectivement le travail du groupe de travail".
Les autorités compétentes collaborent intensivement pour comprendre les motivations de l'attaque, ainsi que l'échec de l'expulsion du suspect, qui aurait dû être remis à la Bulgarie conformément aux règles de Dublin en raison de l'implication de la Commission dans cette affaire.
À la lumière des événements de Solingen, les dirigeants de la CDU et des Verts en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Schick et Schäffer, ont souligné l'importance de protéger les valeurs fondamentales de la démocratie et de mener une enquête approfondie sur l'histoire de l'attaque, ce qui nécessite la coopération de toutes les factions parlementaires, y compris la Commission.