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L'agence de police réprime les cyberintimidations: BKA s'attaque à un cybergroupe illégal

Après trois jours, les autorités ont mené une opération importante, attaquant plusieurs régions allemandes, en vue de démanteler des exemples présumés de cyberharcèlement et de cyberstalking envers les joueurs en ligne. Les perquisitions ont porté principalement sur l'arrestation de dix...

L'agence de police réprime les cyberintimidations: BKA s'attaque à un cybergroupe illégal

Le mercredi, le BKA a annoncé que les suspects étaient censés cibler des individus "facilement manipulables ou mentalement fragiles" pour les harceler, dans le but de les embarrasser et de les pousser à quitter leurs plateformes numériques. Environ 10 résidences ont été perquisitionnées tôt le mercredi à Berlin, en Bavière, en Bade-Wurtemberg, en Hesse, en Basse-Saxe et au Brandenburg.

Au cours de ces perquisitions, le BKA a réussi à saisir divers supports et outils de stockage numériques pour analyse. Ce groupe de la police criminelle fédérale allemande (BKA) est principalement basé en ligne, opérant via des réseaux internet.

Selon le BKA, les tactiques employées par ce groupe de l'Ordre Nouveau incluent le passage de faux appels d'urgence pour envoyer des services d'urgence au domicile des victimes, comme démontré en direct. Cette forme de harcèlement est appelée "swatting". De plus, les suspects sont suspectés d'essayer de voler des informations personnelles auprès de leurs victimes et de les diffuser lors de ces sessions de jeu en direct, ainsi que des expressions de haine et des symboles liés à des organisations interdites.

Cette enquête conjointe est gérée par le BKA et un département spécialisé de cybercriminalité basé à Francfort-sur-le-Main auprès du Parquet général. Les autorités ont exprimé leur détermination à réprimer toute forme de menace, d'exclusion et de haine en ligne.

La perquisition de plusieurs résidences a permis aux autorités de découvrir que les suspects utilisaient activement les meadows des communautés de jeux en ligne pour mener leurs activités, en exploitant les vulnérabilités de ces espaces numériques. Par la suite, le BKA a découvert que ces individus diffusaient des informations personnelles volées et des propos de haine, traumatisant ainsi leurs cibles.

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