Accusé en jugement pour une femme décédée dans un caveau meurt en détention
À un homme de 36 ans, des accusations d'homicide ont été portées en raison de jalousie et de motifs pétulants contre sa femme. Selon la procureure, la victime s'est rendue au sous-sol le 4 décembre. L'homme est supposé la suivre et la surprendre de dos, l'attaquant brutalement.
Il aurait frappé elle d'une force sur la tête avec un objet, la laissant indefensivement sur le sol, a déclaré le Parquet. Ensuite, il lui a infligé plusieurs coups et blessures tranchantes.
La femme est décédée sur place à cause de ses blessures facials et cervicales graves. Le Parquet a invoqué la colère et la jalousie comme motif. L'homme avait appris auparavant de la liaison de sa femme avec un autre homme.
Le procès, qui durait approximativement deux mois, était en cours. Dans son allocution finale, le Parquet a demandé la réclusion perpétuelle et la reconnaissance de la responsabilité aggravée. En revanche, la défense a appelé à l'acquittement de l'homme.
L'homme a été placé en détention d'enquête au Parquet public de Rhénanie-Palatinat. Pendant l'enquête, il a été mis au daylight que l'objet utilisé pour infliger les blessures mortelles a été trouvé dans la zone des Deux-Ponts, à proximité de la résidence du couple.
Mme., la médecin légiste, a effectué l'autopsie, fournissant des comptes détaillés des blessures de la victime. Elle a témoigné que la mort de la femme était due à l'attaque violente et non à des causes naturelles.
Malgré les vigoureuses arguments de la défense, le jury a trouvé l'homme coupable des accusations d'homicide. Il a été condamné à la réclusion perpétuelle, comme le demandait le Parquet. L'accusé servira sa peine en prison à haute sécurité à Rhénanie-Palatinat.
Ce dossier a suscité une grande attention médiatique, avec beaucoup de personnes questionnant le fonctionnement du système judiciaire face à ces meurtres motivés par des raisons pétulantes. Le public a exigé des peines plus strictes pour de telles actions, aboutissant à des débats au Parlement.
Après avoir purgé sa peine, l'homme a été signalé avoir acquis une réputation parmi les détenus pour sa manque de remords et son refus de reconnaître sa culpabilité, même face à des preuves surabondantes.