Le sort des otages américains reste en suspens et il est peu probable que les négociations sur les otages, qui sont dans l'impasse, reprennent bientôt.
La Maison Blanche a déclaré qu'une Américaine et sept hommes manquaient à l'appel à la suite de l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre. Jusqu'à présent, quatre Américains ont été libérés depuis le début de la guerre. Tous auraient la double nationalité israélo-américaine.
Les pourparlers sont au point mort et il ne semble pas que l'on puisse s'attendre à ce qu'ils reprennent de sitôt, selon plusieurs hauts fonctionnaires de l'administration.
La raison principale de l'impasse n'a pas changé depuis lundi, selon un haut responsable de l'administration : le Hamas refuse de libérer un dernier groupe de jeunes femmes otages, et Israël n'acceptera pas la suggestion de passer à la discussion sur la catégorie suivante d'otages : les hommes : Les hommes.
Il semble également peu probable que l'administration soit en mesure de négocier séparément la libération des citoyens américains, comme l'ont fait les gouvernements thaïlandais et russe pour les otages de ces pays. Il n'y a aucune raison de penser que le Hamas accorderait une "faveur spéciale" aux États-Unis de cette manière, a déclaré un deuxième haut fonctionnaire de l'administration, qui a pratiquement écarté cette possibilité.
Les combats ayant repris, on ne sait toujours pas ce qui pourrait, le cas échéant, ramener la cessation des hostilités et relancer les négociations sur les otages.
Comme CNN l'a précédemment rapporté, des responsables israéliens et américains estiment que le Hamas refuse de libérer un certain nombre de femmes âgées de 20 à 30 ans, dont beaucoup ont été enlevées lors du festival de musique Nova, au motif que ces femmes sont considérées comme des soldats. Ce refus, a déclaré un responsable, est "totalement inacceptable" compte tenu des "allégations crédibles de violences sexuelles liées au Hamas et aux atrocités du 7 octobre".
Il s'agit d'une nouvelle de dernière minute qui sera mise à jour.
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Source: edition.cnn.com